Page:Les veillées d’un fouteur, 1832.djvu/124

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 96 —

À nos sens, nos cœurs seuls répondent,
Nous éprouvons, de doux émoi,
Bientôt nos âmes se confondent,
Et l’œil s’humecte malgré soi.
Un doux frisson parcourt notre être,
Et nos clitoris agités,
Pour nous seules toujours font naître ;
Des jours entiers de volupté.


Z. de .....

Les veillées d’un fouteur, vignette fin de chapitre
Les veillées d’un fouteur, vignette fin de chapitre