Page:Les veillées d’un fouteur, 1832.djvu/130

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 102 —

Ma calotte,
Calottin.

Vignette roue 8 rayons

Suceur que ta conscience,
Du jeu ne s’allarme en rien ;
Car nous avons la science
De changer le mal en bien,
Pour nous autres gens d’église,
Grace à nos pouvoirs secrets,
Les pêchés, sont quoi qu’on dise,
Aussitôt remis que faits :
Ah ! pour calmer l’ardeur qui me dévore,


Suce encore(bis.)
Jusqu’à demain,