Page:Les veillées d’un fouteur, 1832.djvu/30

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 20 —

Les salopes court les rues,
Et de leur vagin éraillé,
Avec le pus de leurs menstrues
Dégouline le sang caillé,
Léchons-en les gouttes éparses.
Vivent les gueuses et farces.
En avant courtons !
Défonçons les cons !
À grands coups de culs, de pine, de tétons,
Faisons cramper les garces.(bis.)

Vignette roue 8 rayons

Vieux limiers du trou que j’honore,
Feu Piron, toi qui l’a chanté.
Le foutre jaillirait encore,
De tes couillons ressuscité,
Rassemblant tes Œuvres éparses,
Tu t’écrirai : vivent les farces,
En avant, courtons !
Défonçons les cons !