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Jouissez mes chers amours,
Pour vous je banderai toujours !
La pine au cul resterez,
Tant que vous le désirerez,
Et tandis que vous jouirez,
Dans ce vin qu’un fouteur adore,
Je trouverai du foutre encore !
Jouissez, mes chers amours,
Pour vous je banderai toujours !
Mon braquemart dur et luisant,
Rentre et ressort à chaque instant,
Et quand vous allez déchargeant,
Votre paupière humide roule.
Et je vois le foutre qui coule,
Jouissez, mes chers amours,
Pour vous je banderai toujours !