Page:Les veillées d’un fouteur, 1832.djvu/74

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 56 —

En vain ta main veut m’enflammer encore,
Mon pauvre enfant il faut y renoncer,
De rajeunir vainement on se flate,
Et malgré tout l’elixir que j’ai bu,
Lorsque je veux t’enfiler, je le ratte,
Hélas, Marton ! pourquoi t’en souviens-tu.


J. des enfans de Priape.

Les veillées d’un fouteur, vignette fin de chapitre
Les veillées d’un fouteur, vignette fin de chapitre