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L’ENFANT DE PRIAPE.
Air : Des Comédiens.
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Lève les yeux, regarde moi, ma chère,
Viens de ma pine admirer la couleur,
Je suis bien long, mais enfin je l’espère
Je ne suis pas encore à faire peur.
J’ai le vit dur et le poil un peu rude,
La chair brûlante, et les couillons très-frais,
Foutre beaucoup voilà mon habitude,
Et, suis bondit à quelque chose près.
Je ne veux pas qu’une femme me mène,
Aussi morbleu lorsque sur ses appas,