Page:Les veillées d’un fouteur, 1832.djvu/94

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 72 —

Et l’élite de chaque régiment,
M’passa sur la bedaine,
Cavalier ou bien fantassin,
Tin, tin,
Me trouvaient gratis sur l’chemin,
Je suis une vrai’ catin !

Vignette roue 8 rayons

La Russie où furent, s’enfoncer
Les soutiens d’la patrie,
Plus qu’elle, je sus réchauffer
Notre armée engourdie,
À grands coups d’cul, à grands coups de main,
Tin, tin,
Moi, je dégelais chaque engin,
Je suis une vrai’ catin.

Vignette roue 8 rayons

Si l’ennemi doit recevoir encore
Une pile de la France,