Page:Les voyages au théâtre par A. D'Ennery et Jules Verne.djvu/256

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ELMINA.

Dépêchez-vous, monsieur.

(Paganel a mis d’abord l’éventail et le flacon dans le sac. Puis, il fourre le manchon dans la cage et la perruche dans le sac, et enfin par-dessus, le châle qu’il enfonce à coups de poing.)

PAGANEL.

C’est fait, milady, c’est fait !

ARABELLE.

Votre bras et partons !

BOB.

Milady !

ARABELLE.

Arrière, malheureuse ! Et je songeais à la marier ! Allons-nous-en ! (À Paganel.) Votre bras !

PAGANEL.

Milady, n’en ayant que deux !…

(Il tient d’une main le sac et de l’autre la cage.)

ARABELLE, prenant la cage.

Viens, ma perruche adorée ! Allons… à… (Regardant la cage.) Allons à… Qu’est-ce que c’est que ça !…