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de Dovrdan.

ie tire de l’article de ce teſtament, auquel il eſt parlé de ſon Breuiaire à l’vſage de Chartres, qu’il donne au ſieur Thorel : Car de là il eſt aiſé de juger que ſa principale demeure eſtoit dans l’Eueſché de Chartres, puiſque ſes prieres en eſtoient à l’Vſage, & conſequemment à Dourdan, puis qu’il n’auoit autre chaſteau dans l’eſtenduë de cét Eueſché.

Ce bon Prince n’ayant aucuns enfans, & deſeſperant d’en auoir, & d’ailleurs ſe voulant reſſentir de l’amitié que luy auoit touſiours teſmoignée le Duc d’Anjou fils du Roy Iean, & en conſideration de ce que ſon fils aiſné auoit eſpouſé la fille du Comte d’Alençon ſa niepce, il luy donna tous ſes biens par donation entre-vifs, la joüiſſance toutesfois reſeruée ſa vie du-