Page:Lesueur - Poésies, 1896.djvu/117

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Vous que le temps revêt d’un invincible charme,
O mes meilleurs amis ! ô mon plus sûr trésor !
Vous paraissez plus beaux à travers une larme,
Aussi d’un œil mouillé je poursuis votre essor
Au hasard de mes vers, parmi les rythmes d’or.