Page:Lettre Abbé F. Barnabé 1874-06-30.djvu/3

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Les hommes qui représentent les principes ⁁vrais et éternels reçoivent les mêmes honneurs de nos libéraux. J’étais loin de croire le mal si profond au pays. Celui qui disait : ici point de gallicanisme, ici point de libéralisme était bien aveugle. Et quand l’aveugle conduit un autre aveugle, hélas — ou vont-ils tous deux. Heureusement qu’ils nous restent encore nombre d’hommes franchement catholiques et dévoués à leur pays — ils souffriront ces martyrs de Dieu et de la patrie