Je tressaillis en sentant sa main commencer par
me prendre le bas de la jambe, monter jusqu’au
mollet, se promener lentement sur ma cuisse et
sembler craindre de me prendre le cul. Lorsqu’il
me le prit, je me pâmai : mes cuisses s’entr’ouvrirent,
un de ses doigts froissa les lèvres de
mon con ; j’en répandis un ruisseau de foutre.
Il soulève mes jupes petit à petit comme s’il eut
craint de m’éveiller, présente son braquemart
aux portes du plaisir, le frotte légèrement sur les
babines et finit par l’y engloutir, le retirer, puis
l’y replonger définitivement. Il fourragea l’œillet
et la boutonnière, c’était un vrai Hercule !
Il me tint près d’une demi-journée. Je fus
curieuse de voir si sa figure répondait à ses
forces ! je me retournai comme il m’exploitait
encore, et je vis le plus vilain mâtin qu’on
puisse voir sur terre, mal-propre et mal fait.
L’idée que je m’en étais formée m’ayant fait jouir
jusqu’alors, aussitôt que je l’eus aperçu, je débandai à
la minute et lui dis d’un ton de surprise :
Malheureux ! que veux-tu faire là ? — Madame…
— Et il ne put prononcer une seule parole. Son
vit, qui jusque là avait été constamment raide,
devint flasque subitement ; son imagination se
figura, sans doute, que j’allais le faire assommer
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RÉPONSE QUATRIÈME