je en l’interrompant. — Attends donc, dit cette
femme expérimentée, je veux te convaincre
encore davantage : les castrats sont non-seulement
imberbes, mais sans aucune trace de poil,
et si notre sexe déchargeait aussi abondamment
que le tien nous serions velues comme des ours.
La différence avantageuse que nous faisons de ta
couleur à celle rouge, c’est que les bruns sont
exempts de cette odeur fade et désagréable qu’ont
toujours les roux. À l’égard des châtains et des
blonds, ce ne sont que de tristes fouteurs. Et elle
demanda mes ordres. Comme bien tu l’imagines,
ma chère femme, je mis tout le bastringue en
réquisition, et pour justifier la bonne et vraie opinion
que la maka avait de ma vigueur, je m’y
pris de la sorte.
Nanette fut la première qui ouvrit le branle. Sans avoir rien, capable d’inspirer le plus léger caprice (si ce n’est un sourire agréable, car ses chairs sont flasques) ; sur la recommandation de sa bourgeoise, qui me la présenta comme la plus voluptueuse de ses demoiselles, je l’enconnai d’abord. Cette salope ajoute d’elle-même une dose de plus aux plaisirs ordinaires, en pissant, goutte à goutte, pendant le temps qu’on la lime. Elle fait aussi pisser son fouteur dans sa matrice