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LETTRES DE NOBLESSE

M. Paris, architecte du Roi, membre de l’Académie royale d’architecture, aux Menus-Plaisirs, rue Bergère.




Nous n’avons qu’à ajouter quelques mots pour conduire ce travail jusqu’aux temps modernes. On a publié dans cette Revue même (2e série, tome VIII, année 1870-71), les noms et les armoiries des artistes anoblis sous l’Empire. Ces nominations se réduisent à quatre :

Vien obtint le titre de comte, David, Regnauld et Houdon, celui de chevalier seulement, et, chose extraordinaire, on ne retrouve pas dans les registres des nominations impériales, l’acte conférant à David le titre de baron. Les armoiries de l’Empire sont au moins singulières ; mais comme elles ont été décrites dans cette Revue, et que la gravure en a été publiée dans l’Armorial de l’Empire par Simon, il serait superflu d’y revenir. Enfin, sous la Restauration, Gros, Gérard, Bosio, Lemot et le graveur Desnoyers, reçurent le titre de baron à l’occasion du sacre de Charles X.

FIN.

Angers, Imp. P. Lachèse, Belleuvre et Dolbeau, 1873.