Page:Lettres portugaises, 1669.djvu/18

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que ma Paſſion me donnoit, quand je joüiſſois des témoignages de la voſtre. Comment ſe peut-il faire que les ſouuenirs de momens ſi agreables, ſoient deuenus ſi cruels ? & faut-il que contre leur nature, ils ne ſeruent qu’à tyranniſer mon cœur ? Helas ! voſtre derniere