Page:Lettres portugaises, 1669.djvu/28

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ſiez vous en repos dans mon cloître ? Vous avoiſ-je fait quelque injure ? Mais je vous demande pardon : je ne vous impute rien ; je ne ſuis pas en état de penſer à ma vengeance, & j’accuſe ſeulement la rigueur de mon deſtin. Il me ſemble quen nous ſepa-