Aller au contenu

Page:Lettres portugaises, 1669.djvu/9

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.




PREMIERE
LETTRE.


CONSIDERE, mon amour, juſqu’à quel excèez tu as manqué de preuoyance. Ah mal-heureux ! tu as eſté trahy, & tu m’as trahie par des eſperances trompeuſes.