Aller au contenu

Page:Levallois - Sainte-Beuve, 1872.djvu/274

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
220
SAINTE-BEUVE.

.....Jusqu’à nouvel ordre, je fais ceci : j’annonce dans l’appendice du tome III (que j’ai déjà dû livrer à l’impression) que j’ai entre les mains l’intéressant mémoire sur Retz que j’avais promis, mais que, ne pouvant le donner en cet endroit à cause de son étendue, je le réserve pour un volume suivant où il sera parlé de Retz une dernière fois. Je combinerai ce prochain volume de telle sorte qu’il y ait lieu à un Appendice de 80 ou 100 pages. L’endroit que j’ai en vue répond au tome IV, p. 411, 412. Ce sera l’occasion de renvoyer à un Retz complet, à l’Appendice

Je vous remercie bien de tout ce soin si docte et si amical. J’aspire au Retz converti, si tant est qu’il le fut jamais. — Merci pour vos questions sur ma santé. L’infirmité va jusqu’ici tellement quellement sans complication.

Tout à vous, cher Monsieur et ami.

Ce 23 février 1867.

Cher Monsieur et ami,

Enfin, je l’ai lue cette lin si désirée ! C’est fort curieux. Vous suivez avec une parfaite bonne foi les vicissitudes de cette vie et de cette unie. Vous