Page:Lhuillier - Hégésippe Moreau et son Diogène, 1881.djvu/127

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Plus de frayeur ! et qu’importe, Marie,
À nos amours le pénitent qui crie…
(Une voix dans la rue)

Réveillez-vous, gens qui dormez ;
Priez Dieu pour les trépassés.

3e couplet.

Tremblante dès qu’un rayon terne
Blanchit tes vitres un instant,
Tu prends pour l’aube la lanterne
Qui dans aux mains du pénitent.

Aimons encor ; nous le pouvons, Marie ;
Le jour est loin quand le pénitent crie…
(Une voix, etc.)

4e couplet.

Tu crains ton vieil époux, Marie,
Quand le vent souffle au corridor ;
De nos amours, je le parie,
Ce vent est complice, et l’endort.