Page:Lichtenberger - Mon petit Trott.djvu/162

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dessine en traits pâles. Il y a un visage rose et souriant, que ses vrais yeux n’ont jamais vu, mais qu’elle devine avec des yeux plus perçants, avec des yeux qui voient très clair tout au fond de son âme. Et pour sûr elle le reconnaîtra du premier coup, plus tard, dans le paradis, dans ce beau paradis qui est plus beau encore que la promenade de Silève ; — Trott le lui a dit.