APPENDICE III.
BIBLIOGRAPHIE.
Ce serait un travail à coup sûr long et fastidieux, et même, nous
semble-t-il, médiocrement utile de faire le catalogue complet des innombrables
ouvrages de toute nature et de valeur très inégale qui concernent
la légende ou le poème des Nibelungen. Aussi renvoyons-nous le lecteur
curieux d’une bibliographie complète, aux indications données par Muth :
Einleitung in das Nihelungenlied (1877), p. i sqq. ; par Gœdecke : Grundriss zur Geschichte der deutschen Dichlung (2. Aufl. 1884) p. 183 sqq. ; par
Zarncke : Das Nibelungenlied (6. Aufl. 1887), p. LXI sqq. ; pour l’énumération complète de tous les ouvrages parus sur le poème et la légende des
Nibelungen à partir de l’année 1879, on consultera le Jabresbericht ûber die
Erscheinungen auf dem Gebiete der germanischen Philologie, hsg. v. der Gesellschaft fur deutsche Philologie in Berlin, qui paraît chaque année depuis
1880. Nous nous bornons ici à énumérer les ouvrages qui nous paraissent
encore avoir à l’heure actuelle une valeur réelle pour l’étude : i* » de la
légende ; 2° du poème des Nibelungen ; nous passerons donc sous silence un
très grand nombre d’ouvrages, même importants au moment où ils ont
paru, mais n’offrant plus, actuellement, qu’un intérêt historique : au contraire, nos indications d’ouvrages modernes seront plus abondantes. Nous
excluons de notre bibliographie les ouvrages traitant exclusivement des
questions de critique de texte, de langue, de métrique ou de style, ou encore
de mythologie. Enfin nous rangeons sous une rubrique spéciale les
ouvrages ayant paru en France ou écrits en français. Les ouvrages qui
nous paraissent particulièrement importants seront signalés par un astérisque
ou un double astérisque.
Nous nous servons des abréviations usitées dans tous les ouvrages philologiques ; les plus fréquemment employées sont : Zs. f. d. A., Zeitschrijt fur deutsches Alterthum ; Zs. f. d. Ph., Zeitschrift fur deutsche Philologie ; Germ, , Germania ; Beitr., Beiträge zur Geschichte der deutschen Sprache und Literatur, hgg. v. H. Paul und W. Braune.