d’abord au mariage, la conjonction qui s’ensuit est un mariage. »
Dans cette angoisse, dans ce débat contre le Diable[1], je voulais repousser l’ennemi avec les armes qui m’étaient familières sous la Papauté ; je lui objectais l’intention et la foi de l’Église, foi et intention auxquelles je m’étais conformé en célébrant des Messes privées. À supposer, disais-je, que je me sois trompé dans ma foi et dans ma pensée, encore est-il certain que la foi de l’Église et la pensée de l’Église ont été en cela ce qu’elles devaient être. Mais Satan, avec plus de force et de véhémence :
« Ah çà, me dit-il, fais-moi donc voir où il est écrit qu’un impie, un incrédule, puisse officier à l’autel du Christ, et consacrer, réaliser le sacrement dans la foi de l’Église[2] ? Où est-ce que Dieu a prescrit ou ordonné cela ? Comment prouveras-tu que l’Église