fense du droit, on verra, à côté de l’homme de la Commune, qui est le vaincu de l’Assemblée de Versailles, l’homme de la République, qui a été le proscrit de Bonaparte.
» Je ferai mon devoir. Avant tout, les principes.
La presse versaillaise jeta des cris d’indignation. D’un commun accord, le grand poëte fut déclaré fou, indigne de parler au nom du droit. « Peut-on être si parfaitement sot ? » écrivit M. Francisque Sarcey. Un littérateur, M. X. de Montépin, atteignit d’un bond le sublime : il proposa à la Société des Auteurs dramatique, d’exclure de son sein Victor Hugo, Rochefort Vacquerie, Paul Meurice, etc., en un mot tous les membres qui par leurs actes ou par leurs écrits avaient pactisé avec les actes de la Commune de Paris. On eut le tort de ne pas prendre sa déclaration au sérieux, et de ne pas rendre un édit défendant de lire autre chose que du Montépin, seule nourriture capable de produire des âmes fortes. Seul un journaliste courageux et