Page:Liszt - Pages romantiques, 1912, éd. Chantavoine.djvu/194

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qui, me sachant à Bellaggio, me donnent une sérénade. Je cours les remercier et surtout les prier de chanter encore. Je n’ai jamais rien entendu de comparable à ces trois voix portées sur les eaux, s’élevant et se perdant dans la nuit étoilée.