Page:Livre de prières, 1852.djvu/180

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dangers que nos mauvais penchants nous attirent.

Maintenant, etc.

Je suis sur un lit de douleur, il n’est plus de guérison pour mon corps défaillant ; mais vous qui avez mis au monde notre Sauveur, le remède souverain de nos maladies, j’implore vos compassions, daignez arrêter le mal qui me consume.

Ici le prêtre récite la litanie et cite le nom de ceux pour lesquels on prie.


CANTIQUE.


Refuge glorieux des chrétiens, ô Vierge bienheureuse, vous dont l’intercession est continuelle auprès du Créateur, ne rejetez pas la voix de la prière du pécheur, assistez-le dans votre bonté ; accordez votre secours à ceux qui le sollicitent, intercédez en faveur de ceux qui vous honorent, ô Vierge à jamais bénie.