Page:Livre de prières, 1852.djvu/187

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larmes, Vierge Sainte, qui avez mis au monde celui qui vint ici-bas pour essuyer toutes les larmes.

Mettez la joie dans mon cœur, vous qui avez reçu dans vos bras la source inépuisable de toute félicité, le remède souverain à toutes les afflictions du pécheur.

Asile et refuge désiré de tous ceux qui vous implorent, abritez et protégez-nous, Vierge Sainte ; car vous êtes notre refuge, notre asile et notre joie.

Gloire.

Qu’un rayon de votre gloire, Vierge Très-pure, vienne dissiper les ténèbres de notre ignorance ; nous vous reconnaissons pour Mère de Dieu.

Maintenant.

Dans le séjour des tribulations où je me vois plongé, venez me guérir, Bienheureuse Vierge, et rendez la santé de l’âme à votre serviteur qui vous implore humblement.

(Puis aussitôt : Il est digne, etc.)