Page:Livre de prières, 1852.djvu/193

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qui puissent laver les impuretés de mon cœur, afin que redevenu pur selon le témoignage de ma conscience, j’ose, ô mon divin Maître, m’approcher avec foi de vos redoutables mystères.

Que la participation à votre Corps très-pur et à votre Sang divin soit pour moi la rémission de mes péchés, la communication du Saint-Esprit, le gage de la vie éternelle et le rempart contre toute passion et malheur.


À LA VIERGE.


Autel sacré, où fut déposé le Pain de vie descendu du ciel par miséricorde pour répandre une nouvelle vie sur le monde, assistez-moi, Vierge très-pure, afin que je goûte humblement de ce Pain et que je vive !


CHANT QUATRIÈME.


Ce n’est pas un médiateur pris parmi les hommes, ni un ange, mais vous-même, ô Sei-