Page:Livre de prières, 1852.djvu/205

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Indigne que je suis, comment oserai-je aspirer à la communion des choses saintes ? si j’avais l’audace d’en approcher avec les élus, le vêtement que je porte me trahirait, car n’est-il pas celui de noces, et il ne ferait qu’attirer la condamnation sur mon âme pécheresse. Daignez, Seigneur, purifier les souillures de mon âme et sauvez-moi, ô Dieu de miséricorde.

Et maintenant et toujours, et dans les siècles des siècles.

Mes péchés sont sans nombre, ô Mère de Dieu, j’ai recours à vous et je vous implore pour mon salut. Venez visiter mon âme infirme et languissante, intercédez auprès de votre Fils qui est notre Dieu pour qu’il m’accorde la rémission de mes fautes, ô vous qui êtes comblée de bénédictions.

Seigneur, ayez pitié (40 fois).

Le pénitent pendant ce temps se prosterne autant de fois qu’il le juge convenable.