ainsi qu’au Père, et au Saint-Esprit, maintenant, et dans les siècles des siècles. Ainsi soit-il.
Seigneur, je ne suis pas digne de participer à votre Corps sans tache et à votre Sang précieux ; je crains de me rendre coupable, en mangeant et en buvant ma propre condamnation, faute de discerner le Corps et le Sang du Christ, qui est mon Dieu. Néanmoins je mets toute ma confiance en vos miséricordes, et je m’approche, parce que vous avez dit : Celui qui mange mon Corps et qui boit mon Sang demeure en moi, et moi en lui. Ayez pitié de moi, Seigneur, et ne me rejetez pas quoique pécheur. Que votre miséricorde se répande sur moi, et que le Sacrement auquel j’aspire me guérisse, me purifie, m’éclaire et me protége, et soit mon salut. Que cette sainte communion sanctifie mon âme et mon corps, éloigne de moi tous les vains prestiges et les mauvaises actions, et détruise les