Page:Livre de prières, 1852.djvu/244

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demeurez en nous, purifiez-nous de toute souillure et sauvez nos âmes, Dieu de bonté !

Pendant qu’on chante ce dernier cantique, le Prêtre et le Diacre portent l’encensoir, s’inclinent devant l’autel et en font le tour, et sortent du sanctuaire par la porte latérale du nord, précédés de céroféraires.

Le Prêtre à voix basse : Le soir, le matin et le midi nous vous louons, ô Dieu, souverain maître, nous vous bénissons, nous vous rendons grâces et nous vous prions de recevoir nos prières, comme vous agréez cette odeur douce de l’encens ; détournez nos cœurs de paroles et de pensées mauvaises, et sauvez-nous des mains de tous ceux qui conspirent la perte de nos âmes. Nos yeux, ô Seigneur, sont tournés vers vous ; vous êtes notre espoir, ne nous abandonnez pas ; et c’est à vous qu’appartiennent la gloire, la louange et l’adoration ; à vous, Père, Fils et Saint-Esprit, maintenant et toujours, et dans les siècles des siècles. Ainsi soit-il.

Le Diacre, après avoir encensé les images