Page:London - Croc-Blanc, 1923.djvu/284

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

taire, son premier mouvement fut de repousser les importuns. Puis, parmi les applaudissements des dieux, il se décida, d’un air grave, à leur permettre de grimper et de jouer sur son dos et sur ses flancs. Et, tandis que les petits chiens continuaient leurs bouffons ébats et leurs luttes joyeuses, patiemment, les yeux mi-clos, il s’endormit au soleil.


Fin