Page:London - La Peste écarlate, trad. Postif et Gruyer, 1924.djvu/191

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

le maître et flaira l’odeur de la mort. Les poils hérissés, il recula.

Quelques moments encore, il resta à cette même place, hurlant aux étoiles, qui vacillaient dans l’air glacé. Puis il fit volte-face et, remontant au trot la piste qu’il avait, en venant, suivie avec l’homme, il s’en retourna vers quelque autre maître, qui pourvoirait à sa nourriture et lui allumerait un feu.