Aller au contenu

Page:London - Le Cabaret de la dernière chance, 1974.djvu/39

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

cents la pièce. Il fallait exactement le quart d’une journée pour en venir à bout. Et bien des fois je n’ai déjeuné qu’avec une de ces tablettes. À vrai dire, je trouvais cela plus nourrissant que la bière.