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façon perceptible, puis refusa et poursuivit son chemin.

Il n’avait pas un liard en poche, et la promenade de deux kilomètres lui parut longue pour rentrer à la maison. Il devenait certainement vieux.

En traversant le Domaine, il s’assit soudain sur un banc, énervé à l’idée de sa femme qui veillait pour l’attendre et pour apprendre l’issue du pugilat. Cette pensée lui semblait plus atroce que le coup qui l’avait mis hors de combat, et presque impossible à envisager.