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Page:Londres - Chez les fous, 1925.djvu/113

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Un après-midi, le docteur Dide me dit :

— Venez voir mon laboratoire.

Les travaux de ce savant sont célèbres par le monde.

Au moyen d’une machine perfectionnée, il coupe les cerveaux en tranches minces comme l’on fait du jambon de Parme dans les boutiques italiennes d’alimentation. Il examine ensuite la chose au microscope. De là sortira peut-être la clé de la maladie mystérieuse. Du moins espérons-le.

Je me promenais donc, respectueusement, dans