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Page:Londres - Chez les fous, 1925.djvu/187

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CHEZ LES FOUS

Puis, sans transition, elle se met à sourire et nous montre ses cuisses.

La sœur veut intervenir.

— Va-t-en catin, lui crie-t-elle.

Voici un garçon de quatorze ans. Son visage est gracieux.

— Bonjour, messieurs, dit-il.

Il nous offre deux cocottes en papier.

— Comme cela, il a l’air gentil, fait le docteur. Eh bien ! il ne pense qu’au crime.

— Je vous aime bien, monsieur le médecin.

— Tu m’aimes bien, seulement si dans quatre ou cinq ans tu me rencontres dans un terrain vague tu m’assassineras, n’est-ce pas, Pierre ?

Pierre répondit simplement :

— Il faut bien faire le mal.



Eh bien ! à quoi peut aboutir, ad-mi-nis-tra-ti-ve-ment la grande misère des fous criminels ? À des vaudevilles.

Ces vaudevilles ont deux auteurs.

Ces auteurs n’ont pas la réputation qu’ils méritent.