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Page:Londres - Chez les fous, 1925.djvu/98

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CHEZ LES FOUS

nous sommes comme paralysés. Le bandit va nous atteindre. Nous sentons déjà le froid du couteau. Enfin, nous pouvons repartir. Péniblement, nous grimpons sur un toit. L’angoisse nous étreint. Les bandits nous ont découvert ! Ils accourent ! Ils vont nous jeter du sixième étage sur le sol… mais, en sursaut mouillés de sueur, nous nous réveillons. Le cauchemar est fini.

Pour les pauvres persécutés le cauchemar continue toujours…