Page:Londres - L’Homme qui s’évada, 1928.djvu/184

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Deux jours plus tard, je vois arriver, chez Krislanoff, un policier de ma suite.

Il me dit bonjour, me serre la main et m annonce qu’il doit de nouveau me conduire en prison.

Je pose le rabot. Ce n’était pas une blague, il me ramène à la prison !

On m’enferme dans ma cellule.

Heureusement que mon cerveau était solide de naissance !