Page:Londres - L’Homme qui s’évada, 1928.djvu/47

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Je regardais la mer.

À ce moment, le commandant Michel…

… Le gouverneur des îles ?

— Il a quitté la Pénitentiaire. Il était écœuré. Il est civil maintenant… passa près de moi.

— Eh bien ! Dieudonné, vous regardez la mer ?

— Oui, commandant.

— Ne faites pas de bêtises, ça vaudra mieux pour vous.

Il continua son chemin.

Je regardais toujours la mer et, derrière le phare de l’Enfant-Perdu, je voyais déjà s’élever la « Belle ».