Aller au contenu

Page:Londres - Le chemin de Buenos-Aires, 1927.djvu/246

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
248
LE CHEMIN DE BUENOS-AIRES

On a pu réglementer la rencontre de la foudre et de la terre. Ce règlement s’appelle un paratonnerre.

Aucune loi n’empêchera la rencontre de l’homme et de la femme.

Il est vrai que la Société des Nations n’a pas toujours peur de perdre son temps.


Je vous ai montré la traite des blanches.

Les hommes qui en vivent, les femmes qui n’en meurent pas.

Jusqu’à ce jour, on n’a voulu voir dans cette question que les cas exceptionnels.

Le roman.

Le roman de la jeune fille trompée.

Cela fait une bien belle histoire à faire pleurer les mères.

Ce n’est qu’une histoire.

La jeune fille non consentante sait où s’adresser.

Regardons plus profondément.

Ce n’est pas le roman alors que nous trouvons, c’est le drame.

Drame des petites Polaks.

Drame des petites Franchuchas.

Celles-là baissent la tête. Elles savent le chemin qu’elles prennent.

Elles suivent l’homme du milieu comme un malade le chirurgien.