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Guadeloupe, éprouver d’étranges sensations, faire de pénibles comparaisons.

Tout ce qu’il observa, tout ce qu’il ressentit fut par lui confié au papier. Chaque jour apportait un fait nouveau, ayant trait à la science, ou à la morale, ou aux arts, ou au commerce, ou à l’histoire.

Réunies et classées, ces notes formèrent un manuscrit très-intéressant que son auteur eût certes publié, si la mort, à son retour au pays natal, ne l’était venu surprendre à trente-cinq ans, enlevant à son épouse un compagnon bien-aimé, à l’enfance un professeur dévoué, bien plus, un véritable ami.

C’est alors que ces notes de M. Longin