Car des vers commandés j’achève le treizième : |
Il n’y a que lui qui soit capable de pareilles folies.
Laisse-le dire ; c’est toujours pour moi une distraction.
J’aimerais mieux m’aller coucher que de rester ici avec des gens qui savent si peu apprécier les belles choses.
Je meurs d’amour.
Et moi de sommeil !
Ah ! comment ai-je pu offenser une femme céleste qui meurt ici entre quatre murailles, victime de son honneur, de sa vertu !
Je crois en Dieu.
Que dis-tu ?
Que j’éternue et que je crois en Dieu.
Voici la porte.
Approchez.
Don Arias, donnez-moi la lanterne sourde.
La voici.
Adieu.
Où vont donc ces gens-là ?
En voilà un qui ouvre la porte de Dorothée.
De Dorothée, dites-vous ?
Eh ! oui…
- ↑ La traduction de ce sonnet appartient, comme on sait, à Regnier-Desmarets. Il a été traduit dans toutes les langues. Lope de Vega en a composé un assez grand nombre qui sont aussi parfaits, et qui ont eu le même succès, mais dont les traducteurs, à commencer par Scarron, ont toujours oublié de déclarer le véritable auteur.