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tératures étrangères. La plus célèbre des versions est celle d’Hartmann von Aue qui écrivait vers la fin du xiie siècle et le commencement du xiiie siècle,[1]. Il existe aussi une version scandinave[2]. Les travaux spéciaux les plus important sur ce sujet sont ceux de : Bartsch[3], Othmer[4], Dreyer[5], Hagen[6], Philipot[7], Piquet[8], R. Edens[9].
La comparaison des trois romans gallois et français soulève divers problèmes qui peuvent se ramener à trois principaux :
1o Les romans gallois sont-ils des traductions ou des adaptions des romans français, ou, dans les parties communes, remontent-ils à une source commune ?
2o La source commune immédiate est-elle française ou celtique, et dans quelle mesure ?
- ↑ Ed. Bech, Leipzig, 1893.
- ↑ Erec saga, éd. Cederchiöld. Copenhague. 1880.
- ↑ Ueber Chrestien von Troyes und Hartmann’s. Erec und Enide Germania, VII, 1862).
- ↑ Das verhältniss von Chrétiens Erec und Enide zu dem Mabinogi des roten Buches von Hergest, « Garaint ab Érbin ›, Köln, 1889 (G. Paris, Romania X et XII : compte rendu).
- ↑ Hartmann von Ane’s Erek and seine alfr. Quelle. Königsb. Prog. 1893.
- ↑ Zum Erec (Zeistschr. f. d. Phil. XXVII, 1894).
- ↑ Un épisode d’Erec et Enide (Romania XXV, 1896).
- ↑ Étude sur Hartmann d’Aue. Paris (Thèse pour le doctorat), 1898.
- ↑ Erec-Gereint. Der Chrétiensebe Versroman und das Wälsche Mabinogi. Inaug. Diss. Rostock, 1910. On y trouvera une comparaison minutieuse des deux romans.