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MON HOMMAGE
À « LEURS » INTELLECTUELS

Quand nous serons enfin délivrés, nous et nos fils, du cauchemar des immondes tueries allemandes, quand nous recommencerons de renaître à la liberté et à la vie, je veux espérer que nous aurons renoncé pour toujours à ce snobisme qui, même après 70, poussait la plupart d’entre nous à une si complaisante admiration de l’Allemagne.