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Noyon (Oise). — La cathédrale.
« À Noyon, dans la cathédrale, le Commandement a fait enlever les cloches et les tuyaux du grand orgue ».
(J. O., p. 3059. col. I.)
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/88/Loti_-_L%E2%80%99Outrage_des_Barbares%2C_1917-p019b.jpg/500px-Loti_-_L%E2%80%99Outrage_des_Barbares%2C_1917-p019b.jpg)
Noyon (Oise). — Les coffres-forts particuliers, à la banque Brière, ouverts à l’aide d’un chalumeau.
« Comme M. Brière s’étonnait qu’on lui prît jusqu’à ses archives, l’officier auquel il s’adressait et qui se disait délégué de la Trésorerie de Berlin, se borna à lui répondre : « On m’a donné l’ordre de vider les coffres, je vide les coffres. » »
(J. O., p. 3059, col. I.)