Aller au contenu

Page:Loti - La Maison des aïeules, 1927.djvu/50

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

disaient que d’étranges malheurs s’étaient appesantis sur elles ; on les sentait très pauvres, — malgré d’anciennes jolies choses, des bagues, des éventails, des porcelaines de Chine, conservées encore dans leurs armoires. Et j’avais passé chez elles huit jours de mélancoliques et solitaires vacances, en un mois de mars déjà fort lointain, sous des nuées basses comme celles de cette heure, tandis que soufflait un continuel grand vent d’équinoxe…