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XXXIII

LETTRE D’UNE FRANÇAISE AYANT HABITÉ
LA TURQUIE


Péronne, 26 janvier 1920.
Monsieur,

Si vous jugez que ma lettre peut servir la cause des Turcs, je vous prie de la publier.

La foule, qui crie haro sur le baudet, pèche par ignorance et c’est pour cela qu’il faut l’excuser, l’éclairer. C’est le devoir de tous les Français qui visitèrent la Turquie et qui profi­tèrent de son hospitalité si large, si affectueuse.

Signé : MADAME LOUIS PELLOQUIN