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XLI
LETTRE D’ENVOI
DE M. LE CAPITAINE DE CORVETTE CHACK[1]
Toulon, 3 février 1920.
Commandant,
C’est un des plus grands honneurs de ma vie d’avoir été chargé de porter vers vous l’expression de ces âmes belles et suppliantes.
Puis-je vous dire aussi qu’en ce Constantinople, d’où j’arrive, nous sommes légion, marins et soldats qui luttons de toutes nos forces pour que la « Suprême Injustice » ne s’accomplisse pas, parce que nous avons compris et que nous aimons ce pays pour sa beauté, pour son âme,
- ↑ Qu’une association de dames turques chargea de transmettre une lettre de sympathie.