Page:Loti - La troisième jeunesse de Madame Prune, 1905.djvu/91

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Il était très vaste, ce parapluie de madame Prune, à mille nervures et garni de papier gommé ; tout autour, peintes en transparent, folâtraient des cigognes, — interprétées un peu à la manière du cher défunt, qui restera toutefois le peintre incomparable de ce genre d’oiseau.