Page:Loti - Les Trois Dames de la Kasbah, 1884.djvu/65

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pour les grands yeux mornes de Lalla-Kadidja la mère. Il avait aperçu derrière Fatmah ce lourd regard noir.

Il n’avait plus rien, lui, et les trois Mauresques inquiètes allaient s’unir pour essayer de le chasser dehors.

Mais, à ce moment, Lalla-Kadidja sentit qu’elle était vieille, et, remarquant que Barazère était beau et qu’il était ivre, elle le prit par le bras avec un sourire cynique, pour l’entraîner auprès d’elle…

La porte lestement retomba sur ses charnières massives, et fut, en un tour de main, verrouillée par de grandes barres de fer.

De profundis ! … Les trois qui restaient dehors se regardèrent, essayant encore une fois de démêler leurs idées, et puis s’assirent par terre, sur les pavés, pour attendre…